dimanche 1 juillet 2012

Y'A PAS DE PLUS BEAU JEU!



La semaine dernière j’ai regardé un très bon film. Il s’agit du film «un caddy presque parfait» et j’avoue qu’il y a plusieurs passages durant le film qui m’ont interpellés et c’est de ceux-ci dont je veux vous parler.

Je ne joue pas au golf cependant, je joue au jeu que nous participons tous : le jeu de la vie. Un jeu auquel on ne peut gagner mais auquel on est tous invité à participer. Le Golf est un jeu où on se retrouve face à une cible éloignée et malgré la distance qui nous sépare de cette cible, malgré le sens du vent, malgré la force du coup que nous donnerons, malgré le bâton que nous utiliserons, ce coup nous mènera loin ou près du drapeau. La comparaison que nous pouvons effectuer avec ce jeu, est le parcours de notre vie et les buts à atteindre.

« Y’a pas de plus beau jeu : un homme et sa solitude! »


Il faut voir le chemin, notre chemin, comme le golfeur qui s’apprête à frapper sa balle. Les coups d’essaies sont la quête de quelque chose, à nous de trouver le bon coup.

« Il faut se placer au milieu, à l’intérieur, en plein cœur » Nous avons beaucoup d’effets à notre disposition, mais il n’y a qu’un seul coup qui soit en harmonie avec le chemin. Il nous choisira et tout ce qu’on a à faire, c’est d’éviter de se placer en travers de sa route, c’est lui qui nous choisi. « Nous sommes le chemin. » Le but à atteindre, le drapeau, c’est un dragon que nous devons tuer. Il n’y a que nous, le but à atteindre (le drapeau au loin), la balle (notre trajet), et ce que nous sommes. Il y a un temps pour chaque chose, comme un temps pour chaque bâton à utiliser.

La vie est différente pour chacun d’entre nous, nous avons tous vécu des choses différentes et à divers niveaux de difficultés, mais ce sont ces expériences qui font de nous ce que nous sommes. La pire des erreurs serait de ne pas avancer, de rester coincer dans le passé, en revivant sans cesse les épreuves et les mauvaises essaies.

« Il n’y a pas un âme sur la terre entière qui n’ait pas son fardeau à porter et qui n’en comprenne le pourquoi ». Il faut aller de l’avant même si on ne sait pas comment. Nous avons le choix, « nous arrêter là où nous recommencerons à avancer pour aller là où nous ne sommes jamais parti pour y rester immobile, dans le silence total et nous rappeler le passé. »

Il faut reprendre le jeu, notre jeu, le seul qui vaille la peine d’être joué avec les dons que nous avons reçus en venant au monde.

Le parcours est intéressant alors, jouons pour les moments de bonheur à venir, de toute notre énergie et jusqu’à la fin du parcours!



 

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