samedi 20 février 2010

La réalité, c'est celle qu'on se crée: riche ou pauvre?

Lorsque nous écoutons les gens autour de nous, nous entendons souvent cette réflexion :
 « j’aimerais bien m’acheter ça, mais je n’aurai jamais les moyens de me le payer! » Pourquoi dire une telle chose? Le cerveau l’a bien entendu, donc il réagit de cette manière : « affaire classée, il n’aura jamais les moyens, ça ne donne rien que je me casse la tête à trouver une façon de l’obtenir! » Évidemment, c’est ce qui se passe : on s’en passe! Essayons juste de nous dire : « j’aimerais bien avoir ceci ou cela, comment puis-je faire pour être capable de me le payer? » Là, M. le cerveau n’a pas de répit, il se met en mode recherche de solution, il cherche une façon de trouver l’argent nécessaire à nous procurer le bien en question, ce n’est pas une affaire classée pour lui, il désire nous satisfaire, alors il cherche. Rappelons-nous, lorsque nous étions enfants et qu’on rêvait d’un jouet? On le voyait dans une vitrine et c’est tout juste si l’on ne tremblait pas devant lui tellement on en avait envie. On croyait à ce rêve, et souvenons-nous que souvent, nous l’obtenions. Les enfants ont cette naïveté remarquable lorsqu’ils désirent quelque chose : ils croient que c’est possible.

En fait, la réalité est celle qu’on se crée. On se fait une histoire à l’intérieur de nous, et on la vit. Si je me lève un matin en me disant que ça va mal, il y a fort à parier que la journée ira mal, donc c’est pareil pour l’argent. Si l’on dit tout le temps, qu’on n’a pas les moyens, qu’on n’arrivera jamais à se le payer, alors on crée cette réalité. La belle occasion de réaliser notre rêve pourrait sonner chez nous, qu’on ne lui ouvrirait même pas la porte! Alors qu’en mode de recherche, « comment pourrais-je faire pour trouver l’argent pour me payer ceci? », on verra pleins de choses se présenter à nous.
Notre esprit sera ouvert, et notre cerveau détectera les bonnes occasions. Nous serons plus sensible à écouter notre petite voix qui nous pousse vers ce que l’on veux, nous rechercherons les aubaines, nous aurons envie de négocier, bref on aura envie de se surpasser pour obtenir ce qu’on désire. Le travail deviendra une source de motivation puisqu’on aura un but et des objectifs, ce ne sera plus un fardeau. Ce changement ne demande pas tant d’efforts, mais donne tellement de résultats!
 On a des trésors enfouis au fond de nous, on sait beaucoup de choses, mais on ne les utilise pas. Si petit soit l’effort qu’on fera pour atteindre notre but, il sera un pas de plus dans la bonne direction.
 Si vous croyez que la seule manière d’avoir l’argent pour réaliser votre rêve est de gagner à la loterie, vous faites fausse route, votre cerveau est en train d’enregistrer que c’est la seule solution, et comme les chances sont minimes (ça, vous vous en doutez) votre cerveau commence déjà à abandonner votre rêve. Il ne voit pas d’autres solutions. Si vous gagnez à la loterie, tant mieux, mais ce ne sera pas la seule chose que vous croirez être une bonne occasion. Alors comment pouvez-vous faire pour vous payer votre rêve?

Ne voyez pas que de grandes solutions, les petites comptent aussi. Un café par jour de moins au travail et vous libérerez pas loin de 10 $ par semaine. 10 $ net pensez-y ! Combien il a fallu de temps à travailler pour obtenir 10 $ net? Supposons que vous gagnez 18.00 $ de l’heure, une fois que vous aurez déduit les impôts les rentes et tout le tralala, il vous restera combien? Maintenant combien de ce montant allez-vous consacrer à payer vos frais de subsistance? Alors quel est votre vrai taux horaire net? Avez-vous travaillé une heure pour payer ce bon café? Est-ce un bon choix qui n’aura aucun impact sur la réalisation de votre rêve? 10 $ semaine durant toute une année, c’est 520 $ net. On s’approche de la concrétisation d’un de nos rêves! Combien de ces petits montants dépensons-nous sans réfléchir à l’impact qu’il aura sur la réalisation de nos rêves? Changer notre attitude est déjà une clé menant à la réalisation de nos objectifs et vous développerez assez rapidement l’habitude de dire que tout est possible

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